Le Groupe-cible du CAFOB est constitué des associations féminines en tant qu’organisations communautaires qui rassemblent des femmes pour des objectifs et des activités précises. Et, à travers les associations..
Les activités du CAFOB s’articulent autour de 5 domaines d’intervention des associations membres à savoir : paix et réconciliation, la santé et VIH/SIDA, lutte contre la pauvreté et promotion de l’entreprenariat féminin, justice,...
Au total, 21 femmes victimes des Violences faites aux Femmes regroupées au sein d'une association nommé "TWIYUNGUNGANYE" ont bénéficiées des fonds pour le démarrage de leurs Activités Génératrices des Revenue (AGR).
Cet acte méritoire à voir les conditions dans lesquelles ces victimes vivent actuellement, a été posée mardi le 17/11/2015 dans la commune KAYOKWE par le Collectif des Associations et ONG Féminines du Burundi (CAFOB) dans le cadre du Projet de Lutte contre les Violences envers les Filles et les Femmes dans la région des Grands Lacs Africains (PLUVIF).
Dans le cadre du projet « Réseau de femmes actrices de paix et de dialogue » appuyé par ONUFEMMES, une descente a été effectuée au cours de la semaine du 9 au 13 /11/2015 par les Agents du CAFOB dans quatre Provinces du Burundi à savoir MWARO, GITEGA, MAKAMBA et CIBITOKE avec un triple objectif ;S'enquérir de l'état des lieux des conflits y prévalant, Créer des noyaux provinciaux de prévention et d’alerte précoce des conflits et Renforcer les capacités et accroitre l'engagement des médiatrices de Paix sur le rôle de la synergie d’actions dans sa mission d'aider à résoudre pacifiquement les conflits au sein des localités.
"Le manque de moyens économiques constitue une cause sur beaucoup de violences basées sur le genre, selon Madame Cécile MUBINDI, du Collectif des Associations et ONGs Féminines du Burundi (CAFOB) une ONG locale impliquée dans la lutte contre les violences Faites aux femmes au Burundi.
Cette réflexion émane de son rôle de point focal de CAFOB pour le PLUVIF (Projet de Lutte contre les Violences faites aux femmes et jeunes Filles) ".Dans le cadre du PLUVIF, financé par le CECI à la COCAFEM/GL dont le collectif CAFOB est membre, il était prévu
A quelques jours de la célébration de 20 ans d’existence du Collectif des Associations et ONG Féminines du Burundi (Cafob), l’heure est à l’évaluation du bilan des réalisations et des défis.
Ambassadeur Domitille Barancira, la consultante qui a mené une étude sur la valeur ajoutée de la participation de la femme à la vie politique, indique que le fait même que la femme burundaise ait pu décrocher 30% de places dans les institutions du pays est déjà une valeur ajoutée en soi.
Elle se félicite de ce que, à tous les paliers de l’organisation des institutions, la femme en politique est à l’écoute de la population plus que les hommes. Elle précise : « La femme leader est disponible, elle écoute, elle donne des solutions pratiques et considère le côté social de la chose tandis que l’homme met en avant sa visibilité et l’assurance de sa carrière. »
A quelques jours de la célébration de 20 ans d’existence du Collectif des Associations et ONG Féminines du Burundi (Cafob), l’heure est à l’évaluation du bilan des réalisations et des défis.
Ambassadeur Domitille Barancira, la consultante qui a mené une étude sur la valeur ajoutée de la participation de la femme à la vie politique, indique que le fait même que la femme burundaise ait pu décrocher 30% de places dans les institutions du pays est déjà une valeur ajoutée en soi.
Elle se félicite de ce que, à tous les paliers de l’organisation des institutions, la femme en politique est à l’écoute de la population plus que les hommes. Elle précise : « La femme leader est disponible, elle écoute, elle donne des solutions pratiques et considère le côté social de la chose tandis que l’homme met en avant sa visibilité et l’assurance de sa carrière. »
A quelques jours de la célébration de 20 ans d’existence du Collectif des Associations et ONG Féminines du Burundi (Cafob), l’heure est à l’évaluation du bilan des réalisations et des défis.
Ambassadeur Domitille Barancira, la consultante qui a mené une étude sur la valeur ajoutée de la participation de la femme à la vie politique, indique que le fait même que la femme burundaise ait pu décrocher 30% de places dans les institutions du pays est déjà une valeur ajoutée en soi.
Elle se félicite de ce que, à tous les paliers de l’organisation des institutions, la femme en politique est à l’écoute de la population plus que les hommes. Elle précise : « La femme leader est disponible, elle écoute, elle donne des solutions pratiques et considère le côté social de la chose tandis que l’homme met en avant sa visibilité et l’assurance de sa carrière. »